Si la lumière artificielle nocturne a permis de prolonger les activités humaines une fois la nuit tombée, elle n'est pas sans conséquence pour l'environnement. En effet, les impacts de la lumière artificielle sur la biodiversité sont de plus en plus documentés, et les collectivités territoriales prennent conscience de la nécessité de réduire ces effets.
Le Hérisson d'Europe (Erinaceus europaeus), jusqu’alors classé en "préoccupation mineure" sur la liste rouge de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), est désormais classé en tant qu'espèce "quasi menacée". Ce changement de statut, annoncé lors de la COP16 sur la biodiversité, reflète un déclin rapide de sa population dans de nombreux pays d’Europe de l’Ouest, notamment au Royaume-Uni, en Norvège, en Suède, au Danemark, en Belgique, aux Pays-Bas, en Allemagne et en Autriche.
L'Office français de la biodiversité (OFB) organise la 4e édition du colloque national des Atlas de la biodiversité communale (ABC), un rendez-vous incontournable pour les collectivités, associations, bureaux d’études et acteurs locaux engagés ou souhaitant s’engager dans la préservation de la biodiversité. Cet événement bisannuel est une occasion unique pour acquérir des connaissances, partager des expériences, et s'inspirer des actions concrètes menées en faveur de la biodiversité.
Le Conseil constitutionnel, dans sa décision du 18 octobre 2024, a validé des dispositions essentielles du code de l’environnement visant à garantir la libre circulation des animaux sauvages par la limitation de l’engrillagement des espaces naturels.
Si la lumière artificielle nocturne a permis de prolonger les activités humaines une fois la nuit tombée, elle n'est pas sans conséquence pour l'environnement. En effet, les impacts de la lumière artificielle sur la biodiversité sont de plus en plus documentés, et les collectivités territoriales prennent conscience de la nécessité de réduire ces effets.
Du 19 au 21 novembre 2024, pour la première fois, le Salon des Maires et des Collectivités accueillera en son sein le Salon de la Biodiversité et du Génie Écologique, un événement qui rassemblera un large panel de professionnels engagés dans la préservation, la protection et la restauration de la nature.
Si la lumière artificielle nocturne a permis de prolonger les activités humaines une fois la nuit tombée, elle n'est pas sans conséquence pour l'environnement. En effet, les impacts de la lumière artificielle sur la biodiversité sont de plus en plus documentés, et les collectivités territoriales prennent conscience de la nécessité de réduire ces effets.
L'édition 2024 du concours Capitale française de la biodiversité a retenu sept territoires qui sont récompensés sur le thème "Sobriété et biodiversité". Cette édition est l'occasion de mettre est valeur des territoires impliqués dans la mise en œuvre de la Trame verte et bleue et de la Trame noire, à travers par exemple des démarches de sobriété foncière (zéro artificialisation nette), de gestion naturelle des espaces verts et de réduction de la pollution lumineuse.
Si la lumière artificielle nocturne permet de faciliter et d’accompagner les activités humaines la nuit, elle présente néanmoins de nombreux impacts sur la biodiversité. Depuis quelques années, ce sujet devient une préoccupation de plus en plus forte pour les collectivités - communes, intercommunalités, syndicats départementaux d’énergie et Parcs naturels régionaux - ce qui les conduit à agir sur leur éclairage nocturne.